Joseph Nosarzewski / Jacques Cauda
- Joseph Nosarzewski, Hans Bellmer
- Jacques Cauda, Florbelle
David Chavalarias est mathématicien, directeur de recherche C.N.R.S. au centre d’analyse et de mathématique sociale de l’E.H.E.S.S. Il est l’auteur du livre Toxic data. Comment les réseaux sociaux manipulent nos opinions. Nous explorerons avec lui la face cachée de ces réseaux dits sociaux, leur impact négatif sur le tissus social (le vrai, pas le virtuel) et les moyens de s’en prémunir, individuellement mais aussi collectivement. Déconnectez-vous et écoutez nous sur Radio Libertaire.
Nous recevons Hélène, co-animatrice de l’émission Femmes libres sur Radio libertaire.
Nous évoquerons Séverine et Germaine Berton, actives dans le milieu de la presse libertaire et anarchiste, Simone Weil et les « Mujeres Libres », dans le cadre de la Révolution espagnole et la C.N.T.-E, ainsi que Mary Harris Jones (connue sous le nom de Mother Jones) et Lucy Parsons, militantes syndicaliste révolutionnaire en Amérique du nord.
Aurore Evain, comédienne, metteuse en scène, autrice, chercheuse en Histoire des Femmes, a dirigé une anthologie du théâtre de femmes de l’Ancien Régime, publié un essai L’apparition des actrices professionnelles en Europe (éd. L’Harmattan), mené une recherche sur l’histoire du mot autrice… Aujourd’hui, elle consacre ses recherches à la mise en valeur du Matrimoine et des créatrices du passé.
« C’est tout un matrimoine théâtral qui est à défricher pour mettre en lumière ces artistes oubliées par l’histoire du spectacle vivant telles Madame de Villedieu, Catherine Bernard, Antoinette Deshoulières, Marie‐Anne Barbier et bien d’autres encore. Ces autrices offrent des pièces de théâtre qui résonnent avec nos préoccupations actuelles, car elles renversent les stéréotypes de genre : on y trouve des femmes fortes, qui choisissent le politique plutôt que l’amour ». « On parle du dilemme cornélien, mais on pourrait parler du dilemme bernardien ! »
Chüs Pan animera l’émission ce jour, entourée de Mafalda, qui nous parlera d’amour mais aussi de la B.D.… Mafalda, mais aussi de Pierre Filancia, producteur de podcast, le billet de Jeanne Ferron from Miami, et notre invité Rurik Salle, acteur, musicien, auteur de B.D., il évoquera 2 ouvrages :
Dernière émission de l’année !
Nous vous proposons de retrouver :
Manuel pour dépolluer le débat public
Rediffusion de l’émission du 20 décembre 2022
V/A :
bannière de fin d’année sans drapeau
philo enfants : « philonimo » Alice Brière‐Haquet 2022 éd. 3 œil : « la colombe de Kant » ill. Emilie Vast & « le cygne de Popper » ill. Janik Coat
documentaire : « de la dictature » Equipo Plantel ill. Mikel Casal 2020 éd. Rue de l’échiquier jeunesse
histoires : « le corbeau et les oisillons » Nicole de cock 2010 éd. Circonflexe
« ah quelle soupe les amis ! » Alain Serres ill. Judith Gueyfier 2015 éd. Rue du monde
« la grosse grève » Philippe Jalbert 2019 éd. Gautier‐Languereau
« le silence de Rouge » Mathieu Pierloof ill. Giulia Vetri 2023 éd.Versant Sud
Marcher et rêver avec Claude Villers, de « pas de panique » au « tribunal des flagrants délires » : hommage à ce grand homme de radio
C.D. : Minibus « Bal à fond » 2021
En 1973, l’album Il n’y a plus rien voyait (lui aussi) le jour. En cette fin d’année 2023, Le Ferré Club vous propose de célébrer le cinquantenaire de ce chef‐d’oeuvre de Léo en compagnie d’Alaric Perrolier des éditions La Mémoire et la Mer. Dans cette première partie, Alaric nous parle de là où en est Léo dans son parcours artistique, et commence le passage en revue des chansons qui composent cet album.
Au sommaire :
Pour prolonger l’écoute :
— Il n’y a plus rien chez LMELM
— Léo en 1973 chez SCL
Un grand merci à Alaric pour ce savoureux coup de main et ce sympathique et long moment de partage. Entretien enregistré le 4 décembre 2023.
>> 2nde partie
Rare récit d’une révolte à Frenes en 1946 dans une prison pour femmes mineures, un parallèle entre les C.E.F. et les Bons pasteurs dans l’enfermement genré des mineures à travers un livre et la situation des mineur.e.s en C.R.A. Chronique du film Transfariana. Et de la musique !
Pascale recevra
Témoignage de Joëlle et Dominique de l’association France Palestine Solidarité de Rennes sur la situation en Cisjordanie pendant la période guerrière de l’attaque de l’armée israëlienne à Gaza après l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023.
Nous rendrons hommage au pianiste et pédagogue Michel Sardaby, qui nous a quitté mercredi 6 décembre. Il se trouve que Michel a été mon professeur de piano ; c’est donc un hommage assez personnel de ma part. Et puis les nouveautés et rééditions courent toujours, le jazz n’est pas encore mort qu’on se le dise.
Comme tous les 6 mois désormais, nous nous pencherons sur les sorties discographiques du second semestre 2023. Des labels français que nous suivons depuis des années, comme 11h11 ou Umlaut, jusqu’aux groupes de renommée internationale, en passant bien entendu par des raretés et des découvertes. Nous veillerons à visiter toutes les esthétiques musicales présentes au fil des semaines dans Les Oreilles Libres.
Cette sentence, on la doit à Tony Soprano, personnage principal de l’une des séries les plus réussies de la fin du siècle dernier, Les Soprano, une série qui a ouvert une nouvelle voie à la production télévisée, en proposant de nouveaux standards narratifs et filmiques mais aussi une autre organisation au sein même de l’équipe de fabrication.
La question se pose aujourd’hui : est-ce que les producteurs des séries U.S. ont su garder un cap qualitatif ?
Nous poserons la question à nos invités : est-ce que l’âge d’or de la série télé ou H.B.O. pouvait affirmer « It’s not T.V. it’s H.B.O. », a laissé la place à l’âge de bronze des séries pour plateformes (uniformes) ?
On tentera de décortiquer la fabrication de ces séries « anciennes » et de leurs avatars en s’interrogeant : est-ce que « l’Industrie » a abandonné l’interrogation / dénonciation sociale proposée par ces séries pour passer à un compromis libéral ?
Comment ? pourquoi ? jusqu’ou ?
Est-ce que l’uniformisation des séries relève du fantasme ou de la réalité ?
On abordera également la question de la consommation de ces séries au contenu feuilletonnant mais à présent accessibles dans leur totalité.
Comment on a enlevé aux téléspectateurs ce plaisir de la frustration, de la délicieuse attente de la semaine suivante pour découvrir de nouveaux rebondissements d’une série tout en lui laissant croire qu’il devient maitre de sa consommation mais en réalité pour lui vendre de plus en plus de séries
Pour en débattre :
Nous avons le plaisir d’accueillir Nicolas Ballet, auteur, universitaire et attaché de conservation au Centre Pompidou, pour nous parler de son dernier ouvrage, Shock Factory. Culture visuelle des musiques industrielles (1969‐1995) paru aux Presses du Réel.